Les vitraux du sanctuaire Notre-Dame de l’Agenouillée

Les vitraux furent exécutés en 1923, par le maître verrier Georges Merklen. décédé brutalement en pleine gloire en 1925. Ancien élève de l’Ecole Nationale des Beaux Arts de Paris, il fut un grand maître verrier angevin.

Il a participe au mouvement d`atelier d’art sacré, avec Maurice Denis ; il a créé un « atelier » regroupant vitrail, mobilier, statuaire, mosaïque, fresque, architecture….

En 1925, fut présentée, en grande partie, sa réalisation pour la Société des Phosphates de Constantine au djebel Kiouf, à l’exposition des arts décoratifs de Paris. Plusieurs vitraux ont été classés. Dans son manifeste, il écrivit : « Rien de médiocre dans la maison de Dieu. Que les œuvres d’art, statue, chemin de croix, vitrail, mosaïque … fassent un tout homogène et harmonieux… et parlent au cœur des fidèles. »

Ces vitraux, bien que figuratifs, ne racontent pas une histoire.

Par le jeu infini  de correspondances, ils conduisent vers le Mystère.

Dans son manifeste, Georges Merklen a précisé : « mettre si possible une pensée dans chaque forme, ligne et couleur afin de retrouver le beau symbolique liturgique des anciens bâtisseurs de cathédrales. »

Madame Darrot, que l’on aperçoit à gauche son missel à la main, rencontre non loin de la Poupelinière, une pauvresse encapuchonnée dans un vêtement brun foncé dans lequel elle disparait totalement.

La beauté du cœur de madame Darrot est facile à deviner. La beauté de la pauvresse,  à droite de la scène, beaucoup plus cachée, se situe dans une extrême humilité et évoque sa grandeur.

Le dialogue des mains et l’échange des regards préfigurent la convergence d`âme.

Cette scène préfigure les scènes suivantes.

Madame Darrot est à droite de la scène ; sa grandeur est de servir la pauvresse ; celle de la pauvresse est de centrer son regard sur la cruche d’eau, source de vie, qu`exprime son visage. Les courbes des dos des deux femmes commencent à esquisser un cercle.

Au milieu du fond de la scène se trouve une baie géminée, avec ses colonnettes, où passe, inhabitante, la lumière. Celles-ci sont d’un très grand intérêt car la colonne est le Verbe que le Christ transmet aux hommes et devient un possible opérateur de conversion (RABAN MAUR).

La Vierge, portant l’enfant Jésus apparait dans une mandorle à madame Darrot agenouillée. Madame Darrot se laisse envelopper par l’amour de la Vierge ; en s’agenouillant devant Marie, elle exprime sa pensée en cet acte de piété.

Elle se met sous la protection du manteau de la Vierge, dirige son regard vers son être intérieur. Elle parvient au temps originel en accueillant ce don.

Marie, mère de toutes les grâces, dont le nom dérive du mot hébreu qui signifie « voir » ou encore qui « fait voir », conduit madame Darrot vers la seconde vision.

Madame Darrot, toujours agenouillée, relève la tête. Guidée par la Vierge, elle voit le prêtre célébrant le Saint Mystère, au milieu des fidèles, dans l’église d’Azay sur Thouet, l`autel orné de fleurs. Madame Darrot, le regard tourné vers le mystère eucharistique, contemple l’hostie de l’intérieur, ce qui est l’acte de voir Dieu en soi, car l’œil se trouve là même où est l’amour.

L’amour n’est pas consolation ; il est lumière.

Madame Darrot, suite à la première vision, fait l’expérience de Marie accueillant en elle le Verbe divin. C’est l’acte imitatif essentiel de la dévotion.

Alors, la châtelaine a la vision de la Vierge Mère, qui l’accompagne vers celle de l`incarnation eucharistique.

Ces vitraux aux couleurs éminemment symboliques, ne visent pas un effet de représentation mais bien un effet de présence. Ils suscitent un sentiment de dévotion et ont pour vocation de produire la mémoire d’un mystère, mystère de l’Incarnation et de l’Eucharistie. A travers le réalisme figuratif des diverses scènes, ils nous apprennent ce qui doit être adoré. Ces quatre médaillons retracent le mouvement de la création.

« La création est faite du mouvement descendant de la pesanteur, du mouvement ascendant de la grâce et du mouvement descendant de la grâce à la deuxième puissance. » (Simone Weil).

Ainsi, ce sanctuaire, lieu de circulation de vie et d’amour, nous rappelle que, par la charité vécue dans la vérité, un monde meilleur est possible (Caritas in Veritate) et que l’Eucharistie est au centre de la vie chrétienne.

MERKLEN, ancien élève et lauréat de l’École des Beaux Arts de Paris, achète en 1919 le fonds de l’atelier CLAMENS d’Angers, entreprise qui travaille non seulement dans la France entière, mais aussi à l’étranger, y compris les États-Unis, car l’atelier angevin a alors une succursale à New-York. Puis en 1923, a de vastes projets, achète de nombreuses succursales à Reims, à Paris où il reprend l’atelier du maître-verrier François Haussaire.

L’entreprise a le vent en poupe. Hélas la mort prématurée à 36 ans de G. Merklen brisera cet élan.

Mais l’année de son décès en 1925, sa plus belle réalisation pour la chapelle de la Société des Phosphates de Constantine sera présentée en grande partie au Pavillon du Vitrail lors de l’exposition universelle des Arts Décoratifs en 1925 à Paris. A cette même exposition sont exposées également des œuvres du peintre bien connu Maurice Denis. Par ailleurs, G. Merklen incita Gabriel Loire, alors étudiant, à ouvrir son propre atelier à Chartres. Et actuellement, les ateliers Loire de la 3ème génération sont mondialement connus.

En ce début du XXè, Georges Merklen fut un des acteurs du renouveau du vitrail.

Effectivement, il fonda en 1919 à Angers un atelier d’art sacré. La naissance de ces ateliers d’art sacré fut soutenue par Maurice Denis déjà cité et Georges Desvallière dont la première rétrospective de son œuvre eut lieu au Petit Palais à Paris, récemment, en 2016.

La caractéristique des ateliers d’art sacré était de dispenser un enseignement théologique et une formation spirituelle que G. Merklen a incarné dans son œuvre. Ils formaient une communauté d’artistes chrétiens œuvrant dans l’esprit des corporations du Moyen-âge.

Ce mouvement artistique qui eut son importance est en rupture avec l’art sulpicien. Il veut apporter un souffle nouveau, un renouveau de l’art sacré. Et ainsi que l’a écrit Georges Merklen dans son manifeste « apporter des idées neuves qui se greffent sur une forte tradition », « que l’œuvre soit vivante » poursuit-il « homogène et parle au cœur des fidèles ».

Il ajoute et précise « mettre si possible une pensée dans chaque forme, dans chaque ligne, dans chaque couleur afin de retrouver le beau symbolisme liturgique des anciens bâtisseurs de cathédrales ».

Mais qu’est ce qu’un symbole ?

Le symbole est un élément chargé d’une signification qui dépasse son apparence. C’est donc une représentation concrète d’une notion abstraite. Il permet le passage du visible à l’invisible, du tangible au sacré. En effet, il est l’expression de la vitalité intérieure d’une expérience spirituelle intensément vécue qui dépasse l’entendement.

Effectivement, ces vitraux présentent une évidente valeur figurative conduisant vers le mystère à travers l’Humilité, la Charité et l’Eucharistie.

L’homme ne peut rien vraiment comprendre sans image. Mais je ne regarderai pas cette œuvre d’art avec l’œil qui voit et qui juge mais avec l’œil qui contemple.

Le 1er vitrail évoque la rencontre de Mme Darrot avec une femme dans la misère, alors qu’elle se rend à la messe, son missel à la main.

Le cadre de la rencontre est déjà symbolique. On y voit une tour qui, selon Ste Thérèse d’Avila, symbolise l’intériorité de l’être et son harmonie avec son milieu intérieur.

Le paysage est dépouillé pour symboliser la pauvreté de l’esprit.

Les deux personnes sont extérieurement opposées par leur richesse et leur extrême pauvreté et symbolisent aussi la dualité de la vie et de la mort, de l’ombre et de la lumière, du conscient et de l’inconscient.

Mais cette rencontre, alors que tout les oppose extérieurement, va les conduire vers une harmonie intérieure ainsi qu’en témoigne le parallélisme des mains gauche de Mme Darrot et droite de la pauvresse. Leurs mains tendues ne sont pas seulement conductrices de la chaleur du corps mais aussi de l’âme. Mais cette rencontre n’est pas encore totale, car leurs mains droite et gauche sont en retrait. Leurs visages sont différents, l’un plein de douceur, l’autre à peine visible mais montrent qu’elles sont en chemin l’une vers l’autre de même que leurs regards. Mme Darrot baisse les yeux en signe de compassion, la femme pauvre lève les yeux exprimant sa souffrance dans une demande de lâcher prise.

Leurs attitudes dans leur différence montrent que toutes les deux sont dans la pauvreté de l’esprit. Elles se regardent avec l’œil intérieur et vivent la vertu d’humilité, c’est à dire « l’humilité est de donner sa volonté à Dieu et Dieu en retour donne Sa volonté dans un don d’amour pour que celle-ci devienne le lieu propre de l’homme, l’âme étant alors étreinte par Dieu » (Maître Eckhart). « C’est en cela que s’exprime la douceur de l’humilité » (Guillaume de St Thierry).

Par cette rencontre, la beauté de leur cœur intérieur commence à propager un éclat spirituel évoqué par le décor extérieur qui préfigure l’amour de la Vierge Marie, colline bleue et blanche.

Dans le 2ème vitrail, on voit Mme Darrot offrant de l’eau et le pain à la pauvresse qu’elle a accueillie chez elle.

Cette scène intérieure est une évocation de la vertu de Charité et la table évoque, bien sûr, l’accomplissement du repas pascal partagé sur terre.

Mme Darrot s’efface et donne son siège à la pauvresse qui, en signe d’humilité, l’occupe à peine. Sur ce siège se situe l’image du serpent, symbole d’énergie, annonçant une possibilité de transformation du dedans, car le serpent a la possibilité de muer. Il est le symbole de la guérison et de la libération de l’être par la conversion.

Leurs mains sont maintenant rapprochées, celles de Mme Darrot en un signe d’offrande, celles de la pauvresse en réceptivité de cette offrande dans une attitude de grâce. Elles sont dans une attitude de dépossession de leur moi extérieur, véritable opacité à la lumière.

La progression de leur chemin dans la relation à l’autre est maintenant exprimée par leurs deux visages qui se centrent respectivement sur le pain et sur l’eau, symbole de la source mystérieuse à laquelle nous sommes tous reliés et de la soif du divin.

On remarque également les deux pieds de la table qui symbolisent la serrure, clef de leur cheminement respectif et les plis de la blancheur lumineuse de la nappe forment le « M » de Marie.

En arrière plan, la baie géminée avec ses colonnettes sont d’un grand intérêt, car la « colonne », selon Raban MAUR, est « le Verbe que le Christ transmet aux Hommes et devient un possible opérateur de conversion ».

Par cette baie, passe la lumière qui éclaire les deux femmes dont les courbes de leurs dos forment un cercle, ce qui laisse pressentir qu’elles ne puisent leurs forces que par leur relation de l’une à l’autre.

Cette scène est, bien sûr, une scène de Charité. Or « la véritable charité consiste à se placer au point de vue de l’autre pour qu’il puisse se transformer » d’après Jean Lacroix.

C’est le sens du vrai dialogue où chacun tour à tour est maître et disciple dans une attitude profonde réciproque d’humilité, ce qui évoque leur changement de place respective.(Maître Eckart) « Et la charité est en effet la lumière naturelle de l’âme, l’organe de la vue créé par l’auteur de la nature pour voir Dieu. Cet organe de la vue possède deux yeux : l’Amour et la Raison que l’on ne peut séparer » (Guillaume de St Thierry).

Par ce vitrail, on ressent toute l’importance du don et de la réceptivité du don dans la relation à autrui. Le don de Mme Darrot est facile à saisir, mais celui de la pauvresse est plus caché, mais par sa réceptivité, « elle a eu le pouvoir d’éveiller un cœur et de le combler en devenant pour lui un espace, une source et une fin. On ne peut refuser plus généreusement de subir son destin, c’est à dire de se réduire à sa biologie et d’être un objet » (M. Zündel). « On ressent alors la puissance opérative de l’amour qui est supérieure à celle de la raison » (Nuage de l’inconnaissance).

La puissance de l’amour a un pouvoir de vision.

C’est dans cette démarche que Dieu fait don à l’homme d’une vision. « La révélation de Dieu n’est faite que de ces visions par lesquelles l’Inaccessible se fait sensible aux Hommes et le vrai Dieu est l’inaccessible, l’invisible (A. PLE o.p)

Tous ces signes qui viennent d’être évoqués sont précurseurs de conversion et nous conduisent donc vers le 3ème vitrail.

3ème vitrail. La Vierge Marie, mère du Christ, dans une mandorle apparaît à Mme Darrot portant le Christ, « image même de l’âme humaine qui porte le Christ » (Grégoire de Nysse).

La mandorle est un symbole rendu sensible à la vue permettant d’unir l’extérieur et l’intérieur.

On éprouve une profonde émotion. Le visage de la Vierge Marie est d’une grande beauté et reflète ce don plein d’amour. Mme Darrot agenouillée accueille ce don en descendant au plus profond de son être. En fléchissant son genou, symbole médiéval de l’humilité, elle se laisse envelopper par cet amour et prolonge sa propre pensée en son corps et exprime ainsi cette pensée en acte de piété. Elle accueille les effluves de la grâce divine. La Vierge Marie, mère de toutes les grâces, dont le nom signifie en hébreu  « voir ou qui fait voir », montre du doigt l’église d’Azay/Thouet dont l’arrière-plan est tout blanc, témoin de la pureté mariale.

Dans le 4ème vitrail, elle conduit Mme Darrot à la vision de l’Eucharistie avec la communauté des fidèles qui évoque l’importance de la prière communautaire.

On voit donc Mme Darrot agenouillée qui contemple l’Eucharistie et nous montre ce qui doit être adoré. La vision est suggérée par un halo mauve semi-circulaire, sans fin ni commencement, hors du temps et de l’espace.

Qu’on se rappelle alors, préfigurée dans le second vitrail, le festin des noces éternelles qui est suggéré dans cette scène de charité pleine d’humilité et auquel nous invite le Christ lorsqu’il dit « Viens et Vois ».

Je vous invite donc à contempler ces vitraux avec émotion et à observer les traits et les couleurs employés par Georges Merklen. La puissance des traits du maître-verrier permet d’atteindre les intuitions les plus élevées, laissant à chacun le soin de les éprouver. La ligne transmet la force et la vie.

Quant aux couleurs, c’est un moyen d’exercer une influence directe sur l’âme. Unie au dessin, elle achève la composition.

Je ne reprendrai pas la symbolique de chaque couleur que le peintre Kandinsky a si bien analysée.

Je prendrai quelques exemples.

« Le Vert, par exemple, exprime une propriété bienfaisante pour les âmes.

Le Rouge est la véritable couleur du sentiment. Il constitue une forme spécifique du lien affectif et est le symbole d’une relation individuelle profonde au prochain.

Le Bleu, bien sûr, est la couleur typiquement céleste.

 Ainsi, dans le 3ème vitrail, le rouge du vêtement de Mme d’Arrot et le bleu marial sont choisis en raison du grand contraste spirituel entre-elles et leur voisinage est l’une des harmonies les plus puissantes et les plus heureuses.

L’harmonie repose, alors, essentiellement sur le principe de contraste, mais d’un contraste intérieur.

Dans cette scène d’incorporation, il semble que la présence du rouge et du bleu est de montrer « la grâce céleste envoyée à l’Homme terrestre » afin de recouvrir l’humain par le divin.

Quant au brun, couleur du vêtement de la pauvresse est une couleur émoussée, peu mobile dans laquelle le rouge sonne comme un bouillonnement à peine audible. Et, cependant ce son extrêmement faible, engendre un son intérieur puissant. Le brun procède d’une beauté intérieure indescriptible ».

Quant aux autres vitraux, ils forment un écrin à ceux déjà cités.

Celui de l’entrée nous accueille avec un bleu marial intense et peut être le dessin d’une pomme de pin, symbole médiéval d’immortalité.

Ceux de la nef accrochent le regard et illuminent le chemin qui mène aux vitraux du chœur par leur feuillage qui symbolise les vertus indispensables à la vie de l’âme.

Ceux du chœur qui entourent les médaillons présentent tout autour le symbole de la rose et probablement du lotus,  deux fleurs qui fascinent par leur structure rayonnante et leur descente dans leur profondeur tel que St Paul l’évoque : « celui qui va au ciel est celui qui est descendu le plus bas ».

Et cet aspect très particulier du feuillage circulaire avec au pôle inférieur une structure en corolle d’où s’élève jusqu’au pôle supérieur une tige qui se termine par une forme tri-lobée confirment ces mots de St Paul exprimant ainsi l’universalité du message de ces vitraux.

Pour conclure la fin du cheminement de ces vitraux, véritable chemin initiatique, je citerai ces quelques phrases d’un Père de l’Église  Evagre le Pontique, du IVème siècle, médecin de l’âme. .

« Le Royaume du Ciel n’a pas besoin de la faculté rationnelle de l’âme, mais qu’elle soit voyante, la faculté de vision est dans l’âme pure. Le Royaume du Ciel ne consiste pas en parole mais en puissance et on appelle puissance de l’âme la pureté qui survient par la charité. L’unique des commandements et le principal est la Charité avec lequel l’intellect contemple la Charité première, c’est à dire Dieu ».

La Chapelle Notre-Dame de l’Agenouillée est un lieu de vie profonde et de commémoration d’un mystère. Ces vitraux, d’une grande simplicité picturale, ont pour vocation de produire la mémoire d’un mystère qui, aujourd’hui, continue à toucher l’âme.

Dans ces vitraux, on découvre que l’image met les signes en déplacement.

« L’œuvre de la figure étant le détour, elle représente donc le mystère par une autre figure qui, elle-même représente le mystère par une autre figure et ainsi de suite en une spirale de vie, autour du mystère » (Didi Huberman) qui crée une musique intérieure, véritable chant d’amour.

Quant au XXIème siècle, il ouvre de nouvelles perspectives de ré-enchantement et d’émerveillement car les sciences d’aujourd’hui, sciences humaines des profondeurs, la neuro-science et la neuro-endocrinologie, la physique et astro-physique quantique s’orientent et approchent ce mystère de la force d’amour entre l’esprit et la matière et la synchronicité du dialogue intérieur entre ces deux femmes est l’illustration même de cette trame.

La Vierge Marie, Mère du Christ, qui s’est manifestée à Mme Darrot, nous montre ce chemin de l’Amour.

Ainsi peut-on espérer qu’à la grande clarté du Moyen-âge décrite par le médiéviste Gustave Cohen succède la grande clarté du XXIème siècle.

Mme Thérèse Chaumerliac-Jarriault – 8 sept 2017

Découvrez aussi...